De notre correspondante Frida Nolla
La compétition aura lieu du 1er au 8 juin prochain et a déjà enregistré dix équipes qui parcourront 8 étapes pour 1140km.
Le Cameroun organise du 1er au 8 juin prochain la 16ème édition du Tour international de cyclisme du Gabon. Les Panthères du Gabon sont attendues à la fête de la petite reine dont les 8 étapes pour 1140km ont récemment été dévoilées par le comité d’organisation local.
Cette année, 10 équipes vont prendre part à la course dont 3 venant d’Europe (Global Cycling de Hollande, de Dukla Banska Bystrica de Slovaquie, de Martigues Sport Cyclisme de France), 5 d’Afrique (Gabon, Maroc, Rwanda, Côte-d’Ivoire et Congo Brazzaville) et 2 du Cameroun (SNH Vélo Club et de l’équipe régionale du Cameroun).
La première étape, longue de 136km aura donc lieu le 1er juin entre Akonolinga (région du centre) et Abong-Mbang (région de l’Est), puis suivront la 2ème étape, le 2 juin 2019 entre Yaoundé et Nanga Eboko (164 km), la 3ème étape, le 3 juin entre Yaoundé-Ebolowa (158 km).
Quant à la 4ème étape, elle se fera entre Pouma et Kribi, longue de 157 km, puis suivront Kribi-Douala, la plus longue étape de la course (174 km), le circuit interurbain de Douala avec une sortie à Mutengene, qui constituera la 6ème étape (118 km).
La 7ème étape, Loum-Dschang (112 km) se fera le 7 juin tandis que Bafia-Yaoundé (121 km) constituera la 8ème et dernière étape de la compétition, le 8 juin.
En termes d’innovations de cette année, les villes d’Abong-Mbang et Nanga Eboko situées à l’est du Cameroun vont goûter aux délices de la petite reine.
En attendant l’arrivée des deux experts de l’Union Cycliste internationale, le Belge Jean Michel Voets et le Français Laurent Bezault, attendus au Cameroun ce 22 avril afin de procéder à l’évaluation opérationnelle de l’organisation, le président de la Fécacyclisme, Honoré Yossi, multiplient les réunions avec les parties prenantes depuis le mois dernier.
Nous espérons qu’avec les échos des déboires des Gabonais lors de la dernière Tropicale Amissa Bongo, tout est déjà mis en œuvre à Libreville pour que les choses reprennent leur cours normal.