Les championnats d’Afrique de taekwondo, qui ont commencé le 5 novembre dernier au centre sportif, culturel et des TIC ivoiro-coréen Alassane Ouattara d’Abidjan, se sont achevés le lendemain, 6 novembre.
Le Gabon, qui a participé à l’évènement avec une dizaine de compétiteurs, a obtenu deux médailles (argent et bronze), se classant à la 9e place sur 36 pays.
Un classement qui, en réalité est l’arbre qui cache la forêt ? Et pourquoi donc ? Déjà, en 2022 et 2023, Le Gabon a consacré près de 400 millions de francs, au titre des bourses à nos sportifs de haut niveau que sont Amar Cissé, Anthony Obame et Maria Urgence Mouega, Résultat à Abidjan : seul Maria Urgence Mouega (boursière) a atteint la demi – finale, synonyme de Médaille de bronze.
Les deux autres compétiteurs ? Que d’argent perdu !
Au niveau domestique, seule Emmanuella Atora Eyeghe a fait honneur au pays en décrochant l’argent. Les autres sont rentrés bredouille. Amar Cissé, pour le déplorer, qui évolue en Allemagne, est plus préoccupé à faire du commerce des équipements sportifs entre l’Allemagne et le Gabon avec l’argent de l’Etat, Résultat : aucune médaille dans une compétition majeure en Afrique, Quant à Anthony Obame, Dieu seul sait ce qui fait !
Et que dire du Directeur technique Boulouchi dit ‘’Boulon ‘’, de plus en plus décrié dans le milieu pour son trop plein de pouvoir.
Un vrai lézard dans le kimono ! Il décide de tout et impose souvent qui doit être convoqué en sélection, s’offusque un athlète. On a l’impression que le président de la fédération serait envouté au point de tout accepter de son directeur technique qui fait la pluie et le beau temps. Certains athlètes seraient prêts à parier qu’il aurait un deal entre les deux, joint au téléphone par notre rédaction un taekwondoïste qui a requis l’anonymat « nous sommes fatiguer, de boulon, il étouffe les athlètes que nous sommes, il fait tout même, le Secrétaire général de la fédération n’a plus sa place, il le regarde faire, c’est lui qui dicte la loi sur les athlètes, il veut même parfois manipuler certains médias » nous a-t-il confié. « On se dit même parfois entre nous que le président est complice vu qu’il laisse faire »
Pour finir, le Maroc, qui est la première nation de taekwondo en termes de médailles, n’a aucun athlète qui bénéficie de la moitié des 50 millions de francs qu’empoche chaque année un athlète gabonais.